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Je vais vous faire part de mes recherches concernant le moteur à eau, ou plus « politiquement correct » la façon de faire fonctionner un moteur à explosion traditionnel avec de l’eau !!

Il semblerait que Stanley Meyer y soit parvenu, il a même failli commercialiser un kit pour transformer votre moteur, il décédera (apparemment empoisonné ?) avant de pouvoir le diffuser.

Cependant, il a mis à disposition un brevet sur son procédé, et au moins 2 reportages diffusés à la TV ont montré son système fonctionnant !!

 

Tous ces documents sont disponibles dans la section Téléchargements

 

Je tente donc de reproduire son système et de vous en faire un résumé de ce que j’ai compris.

 

Tout d’abord, un petit rappel :

L’eau (H2O) est composée de 2 molécules d’hydrogène (H) et une molécule d’oxygène (O). Ces 2 composants sont à l’état gazeux à une pression atmosphérique normale (on peut cependant les faire passer à l’état liquide sous haute pression …). L’eau est donc composée de 2 gaz particulièrement combustibles et explosifs si on arrive à les dissocier.

Dissociation qui est possible par l’électrolyse.

 

Contrairement à une électrolyse classique (courant continu appliqué à 2 électrodes plongées dans de l’eau avec une solution électrolytique) qui consomme 3 fois plus de courant que ce qu’elle produit sous forme de Gaz (ex : 3 watts d’électricité donneront potentiellement 1 watt d’énergie sous forme de Gaz), le procédé de Stanley Meyer consiste à exciter la molécule d’eau à une fréquence où elle est instable, avec très peu de courant (intensité inférieur à 1A), une haute tension, et un circuit électronique résonant à cette même fréquence. Le résultat selon lui serait de plus de 1700% d’efficacité (1 watt d’électricité donnerait potentiellement 17 watts d’énergie sous forme de Gaz !!!!!). On parlera de sur-unité ! Seulement les bouquins de physique et chimie sont formels, la sur-unité n’existe pas et ne pourrait exister, « rien ne se perd, rien ne se créer, tout se transforme ! » (Lavoisier).

Pour comprendre le système de Meyer prenons cet exemple grossier :

Une personne de 100Kg sur une balançoire, vous voulez la faire monter à 1m de haut. Donc vous poussez (en continu) aussi fort que vous le pouvez …

Résultat, vous y arriverez sans doute, mais péniblement.

Par contre vous la poussez en donnant des impulsions, sans se fatiguer, il finira par atteindre les 1m.

 

Pour la molécule d’eau c’est le même principe, la molécule d’hydrogène est rattachée à la molécule d’oxygène par une liaison covalente, qu’il faut rompre pour dissocier les 2 molécules.

Ce schéma extrait du brevet de Meyer décrit bien le procédé :

 

 

Une première pulsation met en phase la molécule d’eau (l’oxygène est naturellement attiré vers le – et l’hydrogène vers le +), puis les pulsations à répétitions tirent sur la molécule d’eau et finissent par rompre les liaisons covalentes.

Notez que sur la droite, on voit la forme du signal à envoyer aux électrodes.

 

Il y aura donc 2 choses à maîtriser dans le fonctionnement d’un tel circuit :

 

-         Le circuit de pulsation

-         Le circuit d’intensification

 

Les pulsations à délivrer aux électrodes ne sont pas celles visibles sur le schéma ci-dessus, elles le deviendront une fois passées au travers des composants du circuit d’intensification.

Selon Meyer il faut générer un signal qui aurait cette forme là :

 

Donc des pulsations de 0 à 12V (12V pour la tension d’alimentation d’une batterie de voiture par exemple), avec un cycle on-off de 50% (durée on = durée off) appelé duty-cycle, et des gate-time.

Le nombre de pulsations entre les gate ainsi que la durée des gate et la fréquence des pulsations ne sont pas décrit dans le brevet de Meyer, mais certains parlent de fréquences de résonance de l’eau à 43430 Hz, ou encore 42800 Hz et 14372 Hz. Bien sur seuls des tests avec appareils de labo pourraient nous éclairer.

Voici le schéma du Le circuit d’intensification de Meyer :

 

 

Il ne donne aucune indication sur la façon de créer la partie pulsations, mais on voit bien la forme du signal à envoyer.

Ce circuit est donc formé d’un transformateur élévateur de tension, une diode de blocage, 2 inductances dont 1 variable et les électrodes.

Sur ce schéma :

 

On comprend que les pulsations, après passage dans le transfo s’arrondissent, et après la diode et la première inductance, se rapprochent, les temps off deviennent très courts, le voltage est augmenté par le transfo et doublé par la diode/inductance.

Les électrodes plongées dans l’eau sont alors assimilées à un condensateur créant ainsi un circuit RLC résonant à la fréquence de résonance de l’eau. Le condensateur se charge et se décharge grâce à ces fameux gate time, et l’ascendance du signal est l’effet naturel du condo sur une tension.

Il faudra donc déterminer la capacité du condensateur à eau (l’électrolyseur), et en déduire l’inductance à mettre en série pour que le circuit résonne. Il faut savoir qu’à la fréquence de résonance, la tension va grimper très haut aux bornes de l’électrolyseur (plusieurs KV !!) entraînant un phénomène (haute tension avec haute fréquence) pour l’instant assez inexplicable par la  seule physique chimie, mais déjà Tesla parlait de ces phénomènes il y a presque 1 siècle.

 

Alors bien sur vous me direz c’est bien jolie tout ça, mais est-ce que ça marche et qu’est-ce qu’on en fait de ce circuit ?

Alors pour le moment il y a à ma connaissance 1 expérience qui marcherait, c’est un Anglais qui l’a mis en œuvre, vous pouvez voir ses vidéos ICI, aucun moyen de vérifier ses dires ceci dit.

Et que faire de ce circuit si il marchait ? Il faut d’abord fabriquer un électrolyseur, c’est un bocal hermétique contenant de l’eau et des électrodes en inox, on alimente les électrodes avec ce circuit, le gaz se dégage, on le récupère via une durite et après …

Meyer dans son brevet parle d’un injecteur spécifique qui remplacerait la bougie, on y injecte le gaz sous pression et une détonation du gaz est produite par un laser qui fournit l’explosion nécessaire à un piston dans un moteur pour effectuer la rotation … Je n’ai pas encore cette prétention, il faut savoir que ce gaz via une durite peut être introduit directement dans l’admission d’un moteur (en supprimant le carburateur), avec néanmoins les inconvénients d’une production de gaz aléatoire qu’il faudra maîtriser pour une utilisation en voiture par exemple. En revanche sur un groupe ou une tondeuse par exemple ou le régime doit être constant, le système marcherait très bien.

 

Voilà, je vous propose donc maintenant de :

 

Voir la vidéo de Meyer (en Français)

Voir la vidéo du buggy de Meyer (en Anglais)

Voir les brevets de Meyer

 

Vous trouverez aussi toute sorte de documentations qui touchent de près ou de loin à l’électrolyse sur la page de téléchargement.

 

Voir les réalisations

 

Contactez moi.

 

(Ps : les PRO « ça marcherait, ça se saurait » abstenez vous, on ne tue pas quelqu’un qui a inventé quelque chose qui ne marche pas !!)